Contributions dans la collection RÈGLES DU JEU - finance, RSE, éthique

Pour une utilisation « éthique » de l’IA en entreprise

Lorsqu’une entreprise ou une organisation conçoit ou utilise l’intelligence artificielle (IA), elle a le devoir de s’interroger sur la façon dont elle peut développer cette technologie de manière responsable, sans risque éthique. Il incombe ainsi aux concepteurs d’IA tout comme aux dirigeants qui profitent de ces technologies dans le cadre des activités de leur société d’instaurer des pratiques respectueuses, suivant un ensemble de principes directeurs fondamentaux. Quels sont-ils ? Une tribune de Diane de Saint-Affrique.

Devoir de vigilance : actions à mener pour que les ONG et les entreprises puissent travailler ensemble au bien commun

par Diane de Saint-Affrique Serait-il envisageable que les ONG et les entreprises qui sont véritablement convaincues et adoptent une démarche d’amélioration continue afin d’atteindre les objectifs de la loi sur le devoir de vigilance (2017) se réunissent pour travailler ensemble au bien commun ? Cette démarche pragmatique ne serait-elle pas plus efficace que d’attendre que de nouvelles normes soient imposées qui ne seront pas nécessairement adaptées aux questions adressées ou au périmètre considéré, entretenant un flou qui ne pourra être dissipé que par une décision de justice ?

Devoir de vigilance : Quelles sont les attentes minimales des ONG vis-à-vis des entreprises ?

par Diane de Saint-Affrique | Le constat des ONG est le suivant : les entreprises considèrent souvent le plan de vigilance comme un plan de communication plutôt que comme un outil de développement stratégique, qui viserait à cartographier, à prévenir les risques et mettre en place une stratégie adaptée aux enjeux RSE. Les ONG attendent des sociétés qu’elles changent d’attitude et respectent réellement l’obligation de suivi tout au long de la chaîne de valeur ce qui implique notamment la mobilisation de toutes les parties prenantes, une diffusion d’information de façon transparente, la mise en place d’indicateurs précis, ainsi qu'une évolution significative de la culture d’entreprise.

Devoir de vigilance : quel périmètre d’application ?

par Diane de Saint-Affrique | À l’heure où la Commission européenne s’empare de la question du devoir de vigilance et compte tenu de l’importance cruciale de l’impact d’une telle réforme pour les entreprises européennes, mais aussi pour la poursuite d’un certain nombre d’échanges commerciaux internationaux, il est apparu indispensable au think thank SKEMA PUBLIKA de mener une étude approfondie auprès des principales parties prenantes, à savoir les organisations non-gouvernementales (ONG) et les sociétés concernées par la règlementation pour avoir leur retour sur l’application de la Loi française sur le devoir de vigilance de 2017 et son impact dans le domaine économique et commercial ainsi que leur regard sur ce nouveau projet de directive européenne.

[Vidéo] Jean-Philippe Courtois : l’innovation comme levier pour la durabilité des entreprises

Dans cette vidéo, Jean-Philippe Courtois, Vice-Président Exécutif et Président des Partenariats de Transformations Nationales chez Microsoft et président de SKEMA Business School et Claude Revel, directrice du think tank SKEMA Publika abordent le sujet de la durabilité des entreprises à la lueur de la nouvelle directive européenne de reporting extrafinancier. Ils discutent également de la manière dont des outils innovants utilisant les technologies de l’IA et du Cloud peuvent aider les entreprises à mesurer leur impact ESG, et répondre au mieux aux demandes des législateurs.

Devoir de vigilance : Que pensent les ONG de la Loi française de 2017 ?

par Diane de Saint-Affrique | À l’heure où la Commission européenne s’empare de la question du devoir de vigilance et compte tenu de l’importance cruciale de l’impact d’une telle réforme pour les entreprises européennes, mais aussi pour la poursuite d’un certain nombre d’échanges commerciaux internationaux, il est apparu indispensable au think thank SKEMA PUBLIKA de mener une étude approfondie auprès des principales parties prenantes, à savoir les organisations non gouvernementales (ONG) et les sociétés concernées par la règlementation pour avoir leur retour sur l’application de la Loi française sur le devoir de vigilance de 2017 et son impact dans le domaine économique et commercial ainsi que leur regard sur ce nouveau projet de directive européenne.

[Événement] Finance durable : gouvernance et métrique

Les différentes réglementations européennes obligent les entreprises et les organisations à adapter leur gouvernance aux enjeux de la responsabilité sociale des entreprises (RSE). L’ensemble des régulations vise à la mise en place d’une gouvernance adaptée à l’ensemble des enjeux, qui sera elle-même scrutée, ce qui nécessite des outils de mesure fiables.

RSE et gouvernance : importance de la mise en place d’une autorégulation

Le paysage de la gouvernance a changé de physionomie ces dernières années notamment sous l’impulsion de nouvelles normes qui ont émergé en termes de responsabilité sociale, sociétale et environnementale. Ces deux concepts, gouvernance et RSE, apparaissent désormais indissociables et s’inscrivent comme une nouvelle réalité de gestion des entreprises.

Doper la compétitivité de la Francophonie économique

Avec 15% de la population mondiale, 16% du produit national brut mondial et 20% des échanges mondiaux de marchandises, la Francophonie économique est une réalité incontestable. Pour se développer encore davantage, il est essentiel qu’elle démontre toujours plus son apport au monde économique. Pour cela, elle doit : 1/ porter ses valeurs maîtresses d’intérêt général et de bien commun, au niveau des États, des organisations internationales, mais aussi de l’élaboration des règles, normes et des standards professionnels ; 2/ agir auprès de toutes les instances internationales, en particulier où sont traités des sujets socio-économiques, comme la santé ou le sport, à la fois sources de forts revenus et de puissance géopolitique ; 3/ représenter une alternative et proposer des solutions adaptées aux nouveaux défis posés par les évolutions économiques et numériques, sans être défensive ou arc-boutée contre d’autres langues ou d’autres systèmes.