par Diane de Saint-Affrique | Le constat des ONG est le suivant : les entreprises considèrent souvent le plan de vigilance comme un plan de communication plutôt que comme un outil de développement stratégique, qui viserait à cartographier, à prévenir les risques et mettre en place une stratégie adaptée aux enjeux RSE. Les ONG attendent des sociétés qu’elles changent d’attitude et respectent réellement l’obligation de suivi tout au long de la chaîne de valeur ce qui implique notamment la mobilisation de toutes les parties prenantes, une diffusion d’information de façon transparente, la mise en place d’indicateurs précis, ainsi qu'une évolution significative de la culture d’entreprise.
Contributions sur ce sujet
par Diane de Saint-Affrique | À l’heure où la Commission européenne s’empare de la question du devoir de vigilance et compte tenu de l’importance cruciale de l’impact d’une telle réforme pour les entreprises européennes, mais aussi pour la poursuite d’un certain nombre d’échanges commerciaux internationaux, il est apparu indispensable au think thank SKEMA PUBLIKA de mener une étude approfondie auprès des principales parties prenantes, à savoir les organisations non-gouvernementales (ONG) et les sociétés concernées par la règlementation pour avoir leur retour sur l’application de la Loi française sur le devoir de vigilance de 2017 et son impact dans le domaine économique et commercial ainsi que leur regard sur ce nouveau projet de directive européenne.
Dans cette vidéo, Jean-Philippe Courtois, Vice-Président Exécutif et Président des Partenariats de Transformations Nationales chez Microsoft et président de SKEMA Business School et Claude Revel, directrice du think tank SKEMA Publika abordent le sujet de la durabilité des entreprises à la lueur de la nouvelle directive européenne de reporting extrafinancier. Ils discutent également de la manière dont des outils innovants utilisant les technologies de l’IA et du Cloud peuvent aider les entreprises à mesurer leur impact ESG, et répondre au mieux aux demandes des législateurs.
par Diane de Saint-Affrique | À l’heure où la Commission européenne s’empare de la question du devoir de vigilance et compte tenu de l’importance cruciale de l’impact d’une telle réforme pour les entreprises européennes, mais aussi pour la poursuite d’un certain nombre d’échanges commerciaux internationaux, il est apparu indispensable au think thank SKEMA PUBLIKA de mener une étude approfondie auprès des principales parties prenantes, à savoir les organisations non gouvernementales (ONG) et les sociétés concernées par la règlementation pour avoir leur retour sur l’application de la Loi française sur le devoir de vigilance de 2017 et son impact dans le domaine économique et commercial ainsi que leur regard sur ce nouveau projet de directive européenne.
Les différentes réglementations européennes obligent les entreprises et les organisations à adapter leur gouvernance aux enjeux de la responsabilité sociale des entreprises (RSE). L’ensemble des régulations vise à la mise en place d’une gouvernance adaptée à l’ensemble des enjeux, qui sera elle-même scrutée, ce qui nécessite des outils de mesure fiables.
Le paysage de la gouvernance a changé de physionomie ces dernières années notamment sous l’impulsion de nouvelles normes qui ont émergé en termes de responsabilité sociale, sociétale et environnementale. Ces deux concepts, gouvernance et RSE, apparaissent désormais indissociables et s’inscrivent comme une nouvelle réalité de gestion des entreprises.
Le 15 mars 2020 a ouvert un nouveau cycle : celui de la possibilité d’un confinement planétaire. Une fois le premier choc passé, les réflexions sur la transformation de notre mode de vie se sont imposées comme nécessaires. Le domaine de la finance n’échappe pas à ce mouvement de fond.
Nos entreprises devraient être à l’image de ce que les sociétés démocratiques prétendent être et faire, notamment pratiquer une gouvernance empreinte de responsabilité envers leurs parties prenantes.